à Djibouti, les Oromo sont victimes de clichés caricaturaux et négatifs qui tendent à mettre en scène des distinctions sociales fortes, rendant impossible toute association entre les « Djiboutiens de souche » et ces « étrangers oromo ». Tentative d’éclaircissement sur ce sujet à la fois complexe et délicat par l’anthropologue Thomas Osmond.